30 janvier 2017 à 15h13 — Mis à jour le 30 janvier 2017 à 16h24
Par Michael Pauron et Vincent Duhem - envoyés spéciaux Jeune Afrique à Addis Abeba
Le ministre tchadien des Affaires étrangères, Moussa Faki Mahamat, a été élu ce lundi à la tête de la Commission de l'UA, où il remplace la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma.
Le suspense a été de courte durée : le Tchadien Moussa Faki Mahamat a été élu président de la Commission de l’Union africaine (UA) avec 39 voix sur 54 ce lundi 30 janvier.
Au terme des trois premiers tours de scrutin, le Sénégalais Abdoulaye Bathily, la Botswanaise Pelonomi Venson-Moitoi, et l’Équato-Guinéen Agapito Mba Mokuy ont été éliminés. Les deux finalistes, le ministre des Affaires étrangères tchadien et son homologue kényane Amina Mohammed ont été départagés à l’issue de trois autres tours. Moussa Faki a ensuite été élu à l’issue d’un septième et dernier tour.
Il succède à la Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma.
« Mon expérience a convaincu »
« Je mesure la tâche qui est dorénavant la mienne en tant que président de la Commission de l’Union africaine, a réagi Moussa Faki Mahamat à l’issue du vote. Je ne sais pas comment le vote s’est déroulé car je n’étais pas dans la salle, mais j’imagine que mon expérience, ma vision ont convaincu. Je mesure le poids de la charge. »
Au poste de vice-président de la Commission, c’est le Ghanéen Thomas Kwesi Quartey qui l’a emporté.
L'exemple de la crise ivoirio-ivoirienne de l'élection présidentielle en 2010, en est 1 exemple parmi tant d'autres, où l'UA a fait du sur place ambigüe.
Reprenez les ast 1 exemple parmi tant d'autres, où l'UA a fait du sur place ambigüe.
Reprenez les archives pour comprendre...où 1 président en exercice légal et régalien se fait canarder par des coalitions extérieures non-africaines.
A moins que ce soit de l'imagination que l'on relate alors ? » lire la suite
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