« Bozize ne demeure probablement au pouvoir qu'en raison de l'absence d'une alternative viable pour les pouvoirs impérialistes ».
Ceci n'est qu'une phrase relevée dans un article publiée le 02 Février 2013, et qui répond avec une évidence criante, à la question que nous utilisons comme titre de cette analyse.
Depuis son accession à l'indépendance, les crises, le CENTRAFRIQUE en a connu un bon nombre. Des difficultés qu'il a surmontées, bon an mal an, aux détours de combien de dialogues et de conférences nationaux et nationales, à l'issue desquels et desquelles des résolutions souvent dignes de bon sens ont été arrêtées, mais qui n'ont pas été suivies d'effets, tout simplement parce que dans ce pays, les hommes parlent et écrivent beaucoup. Et comme on le dit si couramment, « les écrits restent mais les paroles s'envolent » ; Et dans ce pays, on a appris à faire que les écrits s'envolent eux aussi, en même temps que les paroles.
Aujourd'hui, l'on ne peut guère s'étonner que depuis un peu plus de deux semaines, plus de deux semaines après la nomination d'un nouveau PREMIER MINISTRE, le CENTRAFRIQUE soit le seul pays au monde à pouvoir vivre sans gouvernement. C'est bien la démonstration que ce pays peut se passer de toute administration publique, de tout système politique car toutes les expérimentations politiques y ont été et y sont possibles.
Le pays a connu la dictature du parti unique, il a accepté d'évoluer dans la sphère des pays modernes à travers l'organisation d'élections libres, justes et transparentes, mais en ayant comme principe d'organiser des élections « fortement encadrées » pour faire croire à une pratique démocratique potable. La couleuvre a été bien avalée par tout le monde.
A cause d'une crise très grave qui pouvait avoir de très fortes répercussions dans la sous-région, les Chefs d
Est -ce le prélude aux prochaines mutineries ou rebellions ?
Ceux qui voulaient de postes plus juteux semblent être décus et commencent à crier.
fallait-il mettre en place un gouverment d'une centaine de Ministres .et commencent à crier.
fallait-il mettre en place un gouverment d'une centaine de Ministres .
en centrafrique le ridicule ne tue pas et celà pouvait se faire pour permettre à tous d'aller manger.
Maintenent que d'autres sont satisfaits, qu 'attend t'on pour libérer nos frères pris en otages en province.
Que les routes soient réouvertes pour leur permettre de se ravitailler.
Il ne faut pas faire durer ce cauchemar plus lontemps.
Attention aussi aux barrières illégales qui empêcheront les citoyens de circuler librement pour vaquer à leur occupations.
Les pièges sont nombreux.
Salut !
» lire la suite
Mon commentaire