Accueil » Politique » Les présidents du Soudan et de Centrafrique veulent sécuriser leur frontière
RFI mercredi 19 juin 2013 à 08:46
Le président centrafricain de transition, Michel Djotodia, termine une visite au Soudan. Lundi 18 juin 2013 au soir, il a rencontré son homologue Omar el-Béchir. Selon l'agence officielle soudanaise Suna, tous deux ont décidé de travailler ensemble à la sécurisation de leur frontière commune. Les provinces centrafricaines les plus proches sont particulièrement dépendantes du Darfour.
Quand il s'agit de bon voisinage avec le Soudan, les habitants du nord-est de la Centrafrique savent concrètement de quoi il s'agit. D'abord parce que les commerçants du Darfour jouent un rôle important dans le commerce local. « Bangui est très éloignée, explique un habitant de Birao, et nos produits manufacturés ne viennent que du Soudan. Les commerçants arrivent pendant la saison sèche et repartent avec des chargements de café, d'oléagineux ou d'autres produits alimentaires. »
Mais le Darfour n'apporte pas que des affaires au nord-est de la Centrafrique. La cohabitation entre les nomades arabes soudanais qui viennent faire paître leur bétail. La région voit également passer des braconniers soudanais qui s'attaquent aux éléphants ou au gibier de brousse. Un ancien rebelle raconte l'histoire d'un marché, à la frontière, où l'on peut trouver des armes et des combattants pour les porter.
« L'origine de tous nos problèmes vient du Soudan, notamment à cause de la circulation des armes, constate un notable de Birao. Le président Djotodia est de la région. Nous espérons qu'il pourra ramener la stabilité, pour que nous puissions nous développer. »
Ce compatriote , natif et notable de Birao;qui déclare que le SOUDAN est à l 'origne de nos problèmes sait de quoi il parle.
Il a par omission oublié de faire mention du TCHAD aussi.
Que le president DJOTODIA nous dise ce qu 'il compte faire pour cette population de Birao qui souffre depuis des années ODIA nous dise ce qu 'il compte faire pour cette population de Birao qui souffre depuis des années et qui continue de souffrir à ce jour avec le retour de la saison des pluies.
Birao serait -il synonyme de prison à ciel ouvert ?
Une ville où les fonctionnaires de la République redoutent d'être redéployés.
Une ville où l'insécurité est ambiante.
Birao était pourtant, un coin où il faisait bon vivre, il y'a encore quelques années.
Le president DJOTODIA ne doit pas compter sur le SOUDAN car OMAR EL BECHIR ne tient plus le Darfour. Il devra se débrouiller tout seul.
J'en suis encore à me demander ce que les mercenaires qui l'ont porté au pouvoir feront de Birao le jour où leur espoir sera deçu à Bangui et qu'il prendront le chemin du retour chez eux ( SOUDAN) en passant encore par Birao.
Ce scénario est plus que probable et est à redouter à la saison de sèche prochaine.
Il faudra éviter ce qui s'est passé aux MBRES car ils tenteront de se venger sur la population civile innocente.
Nous attendons des réponses concrètes , aux préoccupations de nos populations, pas des déclarations générales et des bonnes intentions.
Notre notable dit pour terminer : " Le president ... est de la région. nous espérons qu 'il pourra ramener la stabilité, pour que nous puissions nous developper"
Je prends notre notable au mot. Il pense déjà developper la région pendant que des gens meurent de faim, de paludisme, subissent au quotidien des exactions et ne peuvent même pas prétendre aux salaires.
Je crois qu 'il va un peu trop vite en besogne .
Il est toujours permis de rêver car l'espoir fait vivre. » lire la suite
Y
ce que les chretiens subissent actuellement en rca a grande echelle des barbaries des musulmans c'est ce que les popolations goula en majorite chretienne subissent depuis des annees a birao de la par des musulmans de cette ville
le prochain pays sera le cameroun de biya
C
Soyons sérieux mes chers compatriotes!
J'ai passé mon BEPC dans cette ville en 1998. Neuf (9) mois d'année scolaire que j'ai passé dans cette ville.
Je m'en vais vous dire que :
Birao est dans la préfecture de Vakaga et la ville économique de la zone à cause de son rapprochement à Hamdaffok laéfecture de Vakaga et la ville économique de la zone à cause de son rapprochement à Hamdaffok la frontière entre la RCA et le Soudan. Or cette ville n'est même pas électrifiée.
C'est aussi une ville très enclavée sur ces deux extrêmes. On ne accéder à cette ville pendant la saison sèche c'est à dire 3/12 par an , la population du centre ville est composée à 70% des musulmans étrangers Ahoussa en particulier venu du Soudan, Tchad, Nigéria et Niger. Les autorités de l'état qui sont là bas sont livrés eux mêmes à causes leur éloignement de la capitale bangui. c'était une ville hors la loi.
Le nombre des porteurs de tenus tout corps armé confondus n'atteignait même pas 50 personnes face à une population civile barbare de nature.
Donc depuis l'indépendance on n'a qu'un semblant de contrôle sur cette partie du territoire. On dirait plutôt que ce sont les voyageurs commerçants qui assurent la sécurité de cette zone pour faire leurs affaires.
Monsieur Djotodia en tant que ressortissant et militaire pourra penser à cette zone.
Pour l'instant on ne peut que déplorer la dégradation de la sécurité nos compatriote dans cette zone de notre pays. » lire la suite
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Birao serait -il synonyme de prison à ciel ouvert ?
Une ville où les fonctionnaires de la République redoutent d'être redéployés.
Une ville où l'insécurité est ambiante.
Birao était pourtant, un coin où il faisait bon vivre, il y'a encore quelques années.
Le president DJOTODIA ne doit pas compter sur le SOUDAN car OMAR EL BECHIR ne tient plus le Darfour. Il devra se débrouiller tout seul.
J'en suis encore à me demander ce que les mercenaires qui l'ont porté au pouvoir feront de Birao le jour où leur espoir sera deçu à Bangui et qu'il prendront le chemin du retour chez eux ( SOUDAN) en passant encore par Birao.
Ce scénario est plus que probable et est à redouter à la saison de sèche prochaine.
Il faudra éviter ce qui s'est passé aux MBRES car ils tenteront de se venger sur la population civile innocente.
Nous attendons des réponses concrètes , aux préoccupations de nos populations, pas des déclarations générales et des bonnes intentions.
Notre notable dit pour terminer : " Le president ... est de la région. nous espérons qu 'il pourra ramener la stabilité, pour que nous puissions nous developper"
Je prends notre notable au mot. Il pense déjà developper la région pendant que des gens meurent de faim, de paludisme, subissent au quotidien des exactions et ne peuvent même pas prétendre aux salaires.
Je crois qu 'il va un peu trop vite en besogne .
Il est toujours permis de rêver car l'espoir fait vivre. » lire la suite
le prochain pays sera le cameroun de biya
J'ai passé mon BEPC dans cette ville en 1998. Neuf (9) mois d'année scolaire que j'ai passé dans cette ville.
Je m'en vais vous dire que :
Birao est dans la préfecture de Vakaga et la ville économique de la zone à cause de son rapprochement à Hamdaffok laéfecture de Vakaga et la ville économique de la zone à cause de son rapprochement à Hamdaffok la frontière entre la RCA et le Soudan. Or cette ville n'est même pas électrifiée.
C'est aussi une ville très enclavée sur ces deux extrêmes. On ne accéder à cette ville pendant la saison sèche c'est à dire 3/12 par an , la population du centre ville est composée à 70% des musulmans étrangers Ahoussa en particulier venu du Soudan, Tchad, Nigéria et Niger. Les autorités de l'état qui sont là bas sont livrés eux mêmes à causes leur éloignement de la capitale bangui. c'était une ville hors la loi.
Le nombre des porteurs de tenus tout corps armé confondus n'atteignait même pas 50 personnes face à une population civile barbare de nature.
Donc depuis l'indépendance on n'a qu'un semblant de contrôle sur cette partie du territoire. On dirait plutôt que ce sont les voyageurs commerçants qui assurent la sécurité de cette zone pour faire leurs affaires.
Monsieur Djotodia en tant que ressortissant et militaire pourra penser à cette zone.
Pour l'instant on ne peut que déplorer la dégradation de la sécurité nos compatriote dans cette zone de notre pays. » lire la suite
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