En Centrafrique, la presse est de nouveau en deuil. Une journaliste de la radio Bé Oko de Bambari, Blanche Elisabeth Olofio est décédée dimanche à Bangui de complications liées à ses blessures. Elle avait été violemment frappée par les hommes de la Seleka à Bambari en janvier 2013. Sa mort montre à quel point la prise en charge des blessés est problématique en Centrafrique.
En janvier 2013, les Seleka entrent dans Bambari. Ils sont guidés par une personne mal intentionnée vers la maison de Blanche Elibateh Olofio, journaliste à la radio Be Oko. Les rebelles se livrent au pillage de son domicile. Quand la journaliste vient constater les faits, elle est passée à tabac.
Des blessures dont elle ne s'était jamais vraiment remise. « Elle avait reçu des coups de crosse sur la tête, sur la colonne vertébrale, raconte un membre de sa famille. Elle a succombé ce dimanche matin vers 6 heures et le docteur a dit que c
Vraiment on ne vit que dans un pays des fous et des faux, voilà on vient de perdre une fille digne de ce pays. Les SELEKAS paieront un jour!!!!!!!!!!!!!!!!!! avec tout ce qu'ils ont fait
J
Eux, les Sélékas les étrangers qui tuent chez nous en Centrafrique ils vont montré le pays d'oû ils vont rester,qui va les accepter sur notre téritoire ils vont le dire, ils le savent bien que ils sont pas des Centrafricains,tu as tué mes frères et je t'accepte de vivre dans mon pays est ce je suis malade?.Les rafricains,tu as tué mes frères et je t'accepte de vivre dans mon pays est ce je suis malade?.Les Centrafricains Bantous qui sont islamisées et qui sont des Sélékas ils sont dans leur pays,mais la justice sera faite pour ceux qui ont tué en Centrafrique, mais les Tchadiens et les Soudannais assassins rebels,mercenaires sur notre téritoire de Centrefrique doivent quitter notre pays sans condition et leurs conplices les pays étrangers doivent le savoire, que le Centrafricain Bantou tué sur sole par des assassins étrangers ne sera pas pardenner, ni de rester sur le sole Centrafricain, non jamais du tout. » lire la suite
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