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Burundi: le conseil de sécurité apporte son soutien à l'Union africaine
Nations unies (Etats-Unis) - AFP / 28 octobre 2015 22h53 Le Conseil de sécurité a apporté son soutien mercredi à la décision de l'Union africaine de lancer une enquête sur la violation des droits de l'homme au Burundi et s'est dit prêt à agir.
Le conseil, dans une déclaration unanime de ses 15 membres, se déclare vivement préoccupé par l'insécurité croissante et la montée constante de la violence au Burundi depuis la réélection très controversée du président Pierre Nkurunziza.
Le Burundi a plongé dans la violence lorsque le président a annoncé qu'il briguait un nouveau mandat. Il a été réélu en juillet.
Les violences qui secouent le pays ont déjà fait quelque 200 morts et 200.000 personnes ont fui le pays.
Le Conseil condamne fermement toutes les violations des droits de l'homme et les actes de violence commis au Burundi tant par les forces de sécurité et les milices que par d'autres groupes armés illégaux et exprime sa détermination à faire en sorte que les coupables aient à répondre de leurs actes.
La déclaration, rédigée à l'initiative de la France, appelle les autorités à entamer des discussions avec l'opposition et d'autres parties prenantes dans la région afin de trouver une solution de consensus à la crise actuelle, que les Burundais s'approprieront.
l'adoption de ce texte a été précédée par des négociations avec la Chine et la Russie, qui considèrent que la crise au Burundi est une affaire intérieure et qui s'opposent à des sanctions.
La France et le Royaume-uni ont prévenu que la situation se détériorait au Burundi, l'ambassadeur britannique au Burundi Matthew Rycroft évoquant la semaine dernière d'une menace de génocide.
l'escalade de violence au Burundi est très préoccupante, a déclaré mercredi l'ambassadeur français à l'ONU, François Delattre. Les violences menacent, si l'on n'y prend garde, de se généraliser.
Pour le diplomate français, la déclaration du Conseil de sécurité envoie un message fort à toutes les parties au Burundi pour faire prévaloir le dialogue et l'apaisement.
(©)
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1 commentaire
S
C'est lamentable cette incompréhension de ceux qui cherchent "le petit pouvoir" à tout prix, de ne pas vouloir respecter la décision d'1 peuple par rapport au choix de leur candidat.
Si le peuple dit non, c'est non. Mais à vouloir être président contre l'avis du peuple, vous devenez sans valeur.
c'est non. Mais à vouloir être président contre l'avis du peuple, vous devenez sans valeur.
Résultats :
violences, assassinats, perte de vies humaines etc...
Il n'y a pas autre activité que de vouloir dans l'absolu devenir "petit président" ?
Ici "petit président" veut dire :
la personne est devenue président contre l'avis de la majorité du peuple qui ne veut pas voir cette personne au poste de président dans 1 pays.
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